Budget 1999-2000 / Mot du ministre

Bernard Landry Avec ce budget, nous consolidons le cercle vertueux amorc� au cours des derni�res ann�es. De plus, nous donnons suite d�s � pr�sent � de nombreux engagements pris au cours de la campagne �lectorale, et allons m�me au-del�.

J’annonce avec fiert� que nous atteignons le d�ficit z�ro avec un an d’avance, soit en 1998-1999. C’est la premi�re fois en 40 ans qu’une ann�e se termine sans d�ficit. En 1999-2000, c’est la m�me chose, le d�ficit sera aussi � z�ro. Voil� une œuvre de justice �l�mentaire et d’�quit� entre les g�n�rations.

Ce r�sultat nous le devons surtout � la bonne tenue de l’�conomie qu�b�coise, qui a connu en 1998 l’une de ses meilleures performances de la d�cennie. Nous consacrons imm�diatement les surplus � des besoins prioritaires : la sant�, l’�ducation et la jeunesse, l’emploi, l’�panouissement de la culture qu�b�coise et la r�duction de l’imp�t des particuliers.

En r�sum�, je d�pose aujourd’hui un budget qui r�pond aux exigences des Qu�b�coises et des Qu�b�cois, � leur d�sir de travailler � la fois pour la post�rit� et pour la prosp�rit�, � la fois pour la qu�te d’�quit� et d’identit� et pour tout ce qui constitue les bases de notre id�al national.

Bernard Landry


Gouvernement du Qu�bec   |  � Gouvernement du Qu�bec, 2001